On m’avait fait tout un plat de l’itinéraire de l’année dernière sur la route Napoléon. Ce que nous avons fait cette année est gargantuesque. La force Basque se puise surement dans ses montagnes.
Alors le col Bayard, la descente de La Fraye, sont de la roulette de Samsonite (roupies de sansonnets), comparés à ce que la 2cv a rencontré après le Pas de Roland à Itxassou en passant par Bidarray et St Martin d’Arrossa. Jamais le col Bayard n’avait demandé de multiples rétrogradages en 1ère, et que dire de la descente de la Fraye qui se fait « finger in the nose » en 2nd sans toucher au frein.
Même en première, il a fallu à Mémère endurer les sollicitations forcenées de mon pied droit pour ne pas affoler le volant moteur.

Les Alpes sont pour les petits joueurs ou pour les pêcheurs de bordures. T’es un homme, un vrai, un tatoué si et seulement si tu t’es frotté là où nous n’avons croisé que des Basques, des vrais, des hommes.

Place aux photos, les miennes, pas celles glanées sur Google ou Wiki.

Là où la 2cv a craché ses tripes

Lever en douceur avec déjeuner sur la terrasse face à la Rhune


Le Pont Romain d’Ascain


Vue de la Rhune et la maison Mendi à Sare


A Ainhoa, village magique, le plus basque des basques.


Passage à Espelette

Traversée d’Espelette

L’église St Fructueux d’Itxassou


Le Pas de Roland sur la D349


Paysages sur la D349

Cette terrible route

Le Pont de l’Enfer avant Bidarray


Paysages sur la D349 avant St Martin d’Arrossa


Quand je vous dis que les touristes ne viennent pas par là. Encore moins les Camping cars!


Mademoiselle Jade en sueur à St Martin d’Arrossa


St Jean Pied de Port


Nous avons fait escale à la chambre d’hôtes La Gravouillerie à St Palais. Merci à Catherine et Jean-Claude pour leur gentillesse.

Voili voilou pour ce soir