Nous nous sommes présentés vendredi dans l’après-midi bien avant l’heure au port autonome de Marseille à l’embarquement pour Propriano. L’enregistrement passé très rapidement, nous avons attendu de monter à bord à l’abri du soleil dans le grand labyrinthe du port.
Entre curiosité et étonnement, bien d’autres passagers sont passés à coté de la 304.
Certains se sont arrêtés pour discuter.
Les deux couples de chti de Cambrai voyageant en camping car reviso l’carette et m’interpelo : « elle est d’quelle année t’carette ? ».
Des sourires tendres d’autres passagers en disait beaucoup sur la nostalgie reçue comme un cadeau.
Et puis, Pascal d’Alençon est venu discuter une heure avec nous, nous avons bien entendu parlé de notre passion pour les anciennes. Mais pas que ! Ce fût un très bon moment passé en sa compagnie.
Nous avons reçu des signes de sympathie de la part du personnel de bord. Un pouce levé, un signe de la main, un signe de tête …
Voyager en ancienne, c’est le partage, c’est l’assurance de recevoir une certaine bienveillance des autres usagers de la route.

L’attente dans le labyrinthe du port

Pascal d’Alençon se rend à Evisa (publication de la photo avec son accord)

Oui, je sais, je suis garé de travers dans le bateau.

Au pont 7 du A-Nepita de Corsica Linéa. Même au port les moteurs ne s’arrêtent jamais.

Au revoir Marseille

La basilique Notre-Dame de la Garde surnommée « la Bonne Mère » veille sur Marseille et nous dit au revoir

Les îles du Frioul et du Château d’If

Un repas pris au restaurant du navire. Une très bonne surprise quant à la qualité du repas avec des produits corses. Nous avons bu un vin rouge de Patrimonio.

Le long couloir menant à notre cabine se prête à la photo

Nous longeons la cote ouest de la Corse avant d’arriver à Propriano

A-Népita au petit jour au quai de Propriano